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Bulletin monumental 181-3
(2023)

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Bulletin monumental 181-3 (2023)


Numéro varia
L’ouvrage est disponible auprès de votre librairie avec les références suivantes :
Bulletin monumental, t. 181-3
ISBN : 978-2-36919-202-2
Prix de vente en librairie : 20 €


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Sommaire du Bulletin monumental 181-3

 

Articles

  • Les enduits gaufrés et les peintures ornementales de l’abbatiale romane de Cadouin, par Jean-Baptiste Javel
  • Approche du castrum de La Garde-Guérin et de ses maisons médiévales, par Martin Mallard et Clémence Dequaire
  • La statuette équestre de Louis XIV et les débuts de l’art de la fonte de fer ornée vers 1700 en France, par Daniel Bontemps

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Lire les résumés analytiques

L’abbaye de Cadouin fut fondée autour de 1119 sous l’impulsion de Géraud de Salles. L’église fut consacrée en 1154 et il est probable qu’une majeure partie du monastère était édifiée à cette date. Pleinement rattachée à l’ordre de Cîteaux en 1201 seulement, l’abbatiale est néanmoins considérée comme un exemple type d’édifice cistercien. En effet, la sobriété apparente de la sculpture et l’uniformisation des élévations par un enduit blanc tardif en ont fait un parfait exemple d’architecture austère. Ce badigeon laisse voir cependant des enduits gaufrés et rubanés, déjà signalés par les archéologues mais jamais analysés en détail. Au-delà des joints rubanés, très particuliers, d’autres décors peints sur des frises et des bandeaux, réalisés avec du mortier, posent question. Un premier examen de ces décors a permis de montrer leur étendue, et leurs liens avec la sculpture. Il s’agit d’un décor peint à motifs géométriques et végétaux qui s’avèrent largement employés dans l’ensemble de la productions artistique (sculpture, enluminure, orfèvrerie, menuiserie etc.) à partir de la seconde moitié du XIIe siècle. Ce type de décor, relativement discret mais assez courant, s’observe encore sur de nombreuses maçonneries d’églises et de bâtiments monastiques d’Aquitaine, qu’elles soient religieuses ou civiles. Il semble néanmoins possible d’interpréter ces décors comme le fruit d’une pensée esthétique et théologique caractéristique de la seconde moitié du XIIe siècle et du début du XIIIe siècle.

Mots clés : Abbaye de Cadouin, église abbatiale, XIIe siècle, joints rubanés, gaufrures, décorations.

English summary (Traduction de Patricia Stirnemann)

The embossed wall coatings and the ornamental paintings in the Romanesque abbey church of Cadouin, by Jean-Baptiste Javel

The abbey of Cadouin was founded around 1119 due to the efforts of Géraud de Salles. The church was consecrated in 1154 and a major part of the monastery was probably built at that time. Fully integrated in the order of Cîteaux only in 1201, the abbey church is nonetheless considered as a typical example of Cistercian architecture. The apparent sobriety of the sculpture and the white wall coating added later lend a uniformity to the elevations that make the church a perfect example of austere architecture. The white-wash, however, reveals wall coverings with embossed and ribbon motifs that have been noted by archaeologists, but never analyzed in detail. Other than the rather singular ribbon joints, other painted decoration on the friezes and string-courses, made from mortar, raises questions. An initial examination of this decoration showed its extent and its relation to the sculpture. The repertory of painted geometric and vegetal motifs is quite common in all artistic production (sculpture, illumination, gold and silver-work, woodwork, etc.) during the second half of the twelfth century. This type of decoration, relatively discrete but rather common, can still be seen on the masonry of many churches and both monastic and civil buildings in Aquitaine. It nonetheless seems possible to interpret this decoration as the fruit of an esthetic and theological reflection characteristic of the second half of the twelfth century and early thirteenth century.

Key words: Abbey of Cadouin, abbey church, twelfth century, ribboned joints, embossing, decorations.

Deutsche zusammenfassung (Traduction de Pierre Steimer)

Der mit Prägemustern versehene Verputz und die Ziermalereien in der romanischen Abteikirche von Cadouin, von Jean-Baptiste
Javel

Die Abtei von Cadouin wurde um 1119 auf Betreiben von Géraud de Salles gegründet. Die Kirche wurde 1154 geweiht und zu diesem Zeitpunkt stand bereits ein Großteil des Klosters. Die erst 1201 vollständig dem Zisterzienseroden angegliederte Abteikirche gilt dennoch als typisches Beispiel eines Zisterzienserbaues. In der Tat haben die scheinbare Schlichtheit der Skulpturen und die Vereinheitlichung der Aufrisse durch einen späten weißen Verputz sie zu einem perfekten Beispiel strenger Architektur werden lassen. Diese Tünche lässt jedoch den geprägten und bandartigen Verputz erkennen, der bereits von Archäologen erwähnt, aber nie im Detail analysiert wurde. Abgesehen von den eigenartigen bandartigen Fugen werfen auch andere, mit Mörtel aufgebrachte Verzierungen auf Friesen und Bändern Fragen auf. Eine erste Untersuchung dieser Dekore hat ihren Umfang und ihre Beziehungen zur Skulptur aufgezeigt. Es handelt sich um ein gemaltes Dekor mit geometrischen und pflanzlichen Motiven, die sich ab der zweiten Hälfte des 12. Jahrhunderts in der gesamten künstlerischen Produktion (Bildhauerei, Buchmalerei, Goldschmiedekunst, Tischlerei usw.) als weit verbreitet erweisen. Diese relativ unauffällige, aber recht häufige Art der Verzierung ist noch am Mauerwerk zahlreicher Kirchen und Klostergebäude in Aquitanien zu beobachten, sowohl an Sakral- als auch an Profanbauten. Möglicherweise sind diese Verzierungen als Ergebnis eines ästhetischen und theologischen Denkens zu interpretieren, das für die zweite Hälfte des 12. und den Beginn des 13. Jahrhunderts charakteristisch war.

Schlüsselwörter: Abtei von Cadouin, Abteikirche, 12. Jahrhundert, Bandfugen, Prägungen, Verzierungen.

Le village d’origine médiévale de La Garde-Guérin est bien connu de l’historiographie, grâce à la conservation de nombreux textes définissant les statuts de la coseigneurie. Cependant, son architecture a été peu étudiée. Des visites et études du bourg, notamment en 2012 par Christophe Amiot (ACMH), et plus récemment par nos soins, ont permis d’identifier des maisons des XIIIe-XIVe siècles. Une première analyse de ces vestiges, mise en relation avec les sources écrites et des données issues des études antérieures, conduit à porter un regard nouveau sur La Garde-Guérin. Bien loin du bourg castral usuellement décrit, le village témoigne d’une forme originale de seigneurie, différente des modèles de castra les plus communs. Celle-ci est difficile à décrire : castrum sans véritable château, ou bien « châteaubourg ». Le logis seigneurial est décomposé, il se présente sous la forme de maisons de faible importance formant un petit bourg dense aux caractéristiques urbaines. L’approche du castrum de La Garde-Guérin peut constituer une source utile pour l’étude de coseigneuries attestées par les sources écrites, mais pour lesquelles aucun vestige particulier n’a été observé à ce jour.

Mots clés : La Garde-Guérin, castrum, coseigneurie, maisons médiévales, XIIIe-XIVe siècles, défense médiévale.

English summary (Traduction de Patricia Stirnemann)

The nature of the castrum of La Garde-Guérin and its medieval houses, by Martin Mallard and Clémence Dequaire

The medieval village of La Garde-Guérin is well known in historiography due to the conservation of many texts defining the statutes of the co-seigneury. Its architecture, however, has been little studied. Visits and studies of the town, notably in 2012 by Christophe Amiot (ACMH), and more recently by us, have led to the identification of 13th – 14th century houses. An initial analysis of the vestiges, coupled with the written sources and the results of previous studies, sheds new light on La Garde-Guérin. Far from being the castle-town usually described, the village testifies to the singular form of the seigneury, which is different from the more common models of ca​stra. The present form is difficult to describe: a castrum without a real castle, or “a castle-town”. The seigneurial lodgings are decomposed and consist of smaller houses forming a small dense town with urban characteristics. The approach of the castrum of La Garde-Guérin may provide a useful source for the study of co-seigneuries attested in written sources, but for which no specific vestiges have ever been observed.

Keywords: La Garde-Guérin, castrum, co-seigneury, medieval houses, 13th – 14th centuries, medieval defense.

Deutsche zusammenfassung (Traduction de Pierre Steimer)

Erste Studien des castrum von La Garde-Guérin und seiner mittelalterlichen Häuser, von Martin Mallard und Clémence
Dequaire 

Das Dorf mittelalterlichen Ursprungs La Garde-Guérin ist der Geschichtsschreibung dank zahlreicher erhaltener Texte, in denen die Statuten der Mitherrschaft definiert werden, wohl bekannt. Seine Architektur wurde jedoch kaum erforscht. Bei Besuchen und Untersuchungen des Marktfleckens, insbesondere im Jahr 2012 durch Christophe Amiot (ACMH) und kürzlich durch uns, konnten Häuser aus dem 13. und 14. Jahrhundert identifiziert werden. Eine erste Analyse dieser Überreste, gekreuzt mit schriftlichen Quellen und Ergebnissen früherer Studien eröffnet neue Einblicke in das Dorf La Garde-Guérin. Weit entfernt von der üblichen Beschreibung einer kastralen Siedlung zeugt das Dorf von einer originellen Form der Grundherrschaft, die sich vom gängigen Modell eines castrum unterscheidet. Diese ist schwer zu beschreiben: ein castrum ohne echte Burg oder einem Burgdorf. Der herrschaftliche Wohnpalas besteht aus bescheidenen Häusern, die einen kleinen, dichten Marktflecken mit urbanen Merkmalen bilden. Diese ersten Studien das castrum von La Garde-Guérin betreffend können eine nützliche Quelle für die Analyse von durch Schriftquellen belegten Herrschaftsgebieten darstellen, für die bis heute jedoch keine charakteristischen Beispiele beobachtet werden konnten.

Schlüsselwörter: La Garde-Guérin, castrum, Mitherrschaft, mittelalterliche Häuser, 13. und 14. Jhd., mittelalterliche Wehrbauten.

La statuette équestre de Louis XIV et les débuts de l’art de la fonte de fer ornée vers 1700 en France, par Daniel Bontemps

La fonte de fer ornée largement employée au XIXe siècle eut – c’est peu connu – un moment de gloire vers 1700 en France. En témoigne la rampe d’escalier du dessin de l’architecte Bullet conservée dans l’ancien hôtel Le Peletier, partie de l’actuel musée Carnavalet à Paris. Des garde-corps, disparus pour leur part, sont signalés au château de Meudon, alors propriété de Louvois,  secrétaire d’État à la Guerre et familier des milieux de la métallurgie, dans le Cours d’Architecture de d’Aviler de 1691. Plusieurs garde-corps et balustres de rampe sont gravés dans cet ouvrage. À la suite des découvertes de Réaumur sur le fer, l’acier ou la fonte
de fer – publiées en 1722 – une manufacture royale fut créée à Cosne-sur-Loire (Nièvre) pour produire de nombreux ouvrages dans ce matériau, qui étaient vendus à Paris à l’hôtel d’Uzés. Le traité Réaumur mentionnait une statuette équestre de Louis XIV dans un cabinet de l’appartement privé du roi à Versailles, que lui avait offerte en 1701 Maximilien Titon du Tillet. Ce dernier en fit réaliser une réplique pour son hôtel parisien du faubourg Saint-Antoine. La statuette de Versailles, retirée de l’appartement royal, fut conservée un temps à l’hôtel de la Surintendance près du château pour disparaître durant la Révolution. Quant à celle des Titon, après deux siècles de changements de propriétaires et d’expositions en France et à l’étranger, elle est réapparue en 2022 en vente publique chez Sotheby’s.

Mots clés : La fonte de fer ornée, XVIIe siècle, Louis XIV, statue équestre, Réaumur, hôtel d’Uzés, Titon du Tillet.

English summary (Traduction de Patricia Stirnemann)

The equestrian statuette of Louis XIV and the beginnings of the art of ornamental cast iron around 1700 in France, by Daniel Bontemps

Ornamental cast iron, so widely used in the 19th century, had a little recognized moment of glory around 1700 in France. A fine witness is the banister designed by the architect Bullet and preserved in the former Le Peletier mansion, now part of the Carnavalet Museum in Paris. Balustrades, which have now disappeared, once existed in the Château de Meudon, then the property of Louvois, secretary of state for war and familiar with metallurgy; they are noted in the Cours d’Architecture by d’Aviler in 1691. Several balustrades and banisters with balusters are engraved in the work. Following the discoveries of Réaumur concerning iron, steel and cast iron, published in 1722, a royal manufacturing plant was created at Cosne-sur-Loire (Nièvre) for the production of a range of objects in this material that were sold in Paris at the Hôtel d’Uzès. Réaumur’s treatise mentioned an equestrian statuette of Louis XIV in a cabinet of the private  apartment of the king at Versaillles, a gift offered to Louis in 1701 by Maximilen Titon du Tillet. Titon du Tillet had a replica made for his Parisian mansion in the faubourg Saint-Antoine. The statuette at Versailles was taken from the royal apartment and kept for a while in the hôtel de la Surintendance located near the château, and then disappeared at the Revolution. As for the one belonging to the Titon family, after it changed ownership and was displayed in France and abroad for two centuries, it reappeared in 2022 in a public sale at Sotheby’s.

Keywords: Ornamental cast iron, 17th century, Louis XIV, equestrian statue, Réaumur, Hôtel d’Uzès, Titon du Tillet.

Deutsche zusammenfassung (Traduction de Pierre Steimer)

Die Reiterstatuette Ludwigs XIV. und die Anfänge der Kunst des ornamentalen Eisengusses um 1700 in Frankreich, von Daniel Bontemps

Der im 19. Jahrhundert weit verbreitete ornamentale Eisenguss hatte – was kaum bekannt ist – um 1700 in Frankreich eine Blütezeit. Davon zeugt das Treppengeländer nach einer Zeichnung des Architekten Bullet, das im ehemaligen Stadtpalais Le Peletier, einem Teil des heutigen Museums Carnavalet in Paris, erhalten ist. Geländer am Schloss Meudon, die ihrerseits verschwunden sind, werden in den Cours d'Architecture von d‘Aviler aus dem Jahr 1691 erwähnt. Damals befand sich das Schloss von Meudun im Besitz des Kriegsministers Louvois, der mit den Kreisen der Metallindustrie vertraut war. D‘Avilers Werk zeigt Stiche mehrerer Geländer und Geländerbalustraden. Nach Réaumurs Entdeckungen in den Bereichen Eisen, Stahl oder Gusseisen – die 1722 veröffentlicht wurden – wurde in Cosne-sur-Loire (im Departement Nièvre) eine königliche Manufaktur gegründet, die zahlreiche Werke aus diesem Material herstellte, die dann im Pariser Hôtel d‘Uzés verkauft wurden. In der Abhandlung von Réaumur wurde eine Reiterstatuette        Ludwigs XIV. in einemKabinett der Privatwohnung des Königs in Versailles erwähnt, die ihm Maximilien Titon du Tillet 1701 geschenkt hatte. Dieser ließ eine Kopie für sein Pariser Stadtpalais im Faubourg Saint-Antoine anfertigen. Die Versailler Statuette wurde aus der
königlichen Wohnung entfernt und eine Zeit lang im Hôtel de la Surintendance in der Nähe des Schlosses aufbewahrt, bevor sie während der Revolution verschwand. Was die Titon-Figur betrifft, so tauchte sie nach zwei Jahrhunderten und wechselnden Besitzern und Ausstellungen in Frankreich und im Ausland 2022 auf einer öffentlichen Auktion bei Sotheby‘s wieder auf.

Schlüsselbegriffe: ornamentaler Eisenguss, 17. Jahrhundert, Louis XIV., Reiterstatue, Réaumur, Hôtel d‘Uzés, Titon du Tillet.

Rubriques : Actualités, Chronique et Bibliographie

Actualités

Bas-Rhin. Strasbourg. Acquisition d’un dessin d’architecture de la haute-tour de la cathédrale (Cécile Dupeux)

Calvados. Caen. Les charpentes médiévales de l’église Saint-Georges (Clément Letor)

Seine-Saint-Denis. Saint-Denis. Cathédrale (ancienne abbatiale) : fouilles du massif occidental et travaux du déambulatoire (Jacques Moulin)


Chronique

Architecture religieuse, circulation, aménagement du territoire au Moyen Âge. Notre-Dame de Paris : une nouvelle analyse de sa conception géométrique (Yves Gallet). — Provins (Seine-et-Marne), les commanderies du Temple et de l’Hôpital : une synthèse précieuse pour l’étude de la ville (Pierre Garrigou Grandchamp). — Circulation des objets entre Europe occidentale et orientale au Moyen Âge (Lise Saussus). — La garenne à lapins : un aspect oublié des parcs à gibier médiévaux (Dominique Hervier). Architecture, Renaissance 
Château d’Anet (Eure-et-Loir) : travaux récents sur la mise en œuvre de la voûte de la chapelle (Philippe Potié).

Architecture et décor, XIXe et XXe siècle. L’architecture religieuse de la fin du XIXe siècle dans le diocèse de Valence (Drôme) [Bernard Berthod]
L’Alsace retrouvée (Françoise Hamon).

Ouvrages d’art. Signalement : ouvrages d’art et société contemporaine (Dominique Hervier)

Heurs et malheurs du Patrimoine. Signalement : Alerte sur l’évolution de la notion de patrimoine (Dominique Hervier)


Bibliographie

Patrimoine. Chloé Demonet, Sauvegarder l’art français - 100 ans d’actions et de combats au service du patrimoine 1920-2021 (Françoise Hamon).

Restitution numérique. Youri Carbonnier, Sophie Raux, Christophe Renaud et François Rousselle (éd.), Watteau, Gersaint et le pont Notre-Dame à Paris au temps des Lumières. Les enjeux d’une restitution numérique (Matthieu Lett).

Monachisme et architecture du haut Moyen Âge. Laurent Ripart, Les déserts de l’Occident. Genèse des lieux monastiques dans le sud-est de la Gaule (fin IVe-milieu VIe siècle) [Yann Codou]. Charles Bonnet, avec la collaboration de Michèle Gaillard, Satigny. Étude archéologique et historique d’une des plus anciennes églises du canton de Genève (Pascale Chevalier). 

Architecture romane et archéologie du bâti. Andreas Hartmann-Virnich (dir.), De Saint-Gilles à Saint-Jacques. Recherches archéologiques sur l’art roman (Yves Esquieu).

Toulouse gothique. Virginie Czerniak et Charlotte Riou (dir.), Toulouse au XIVe siècle. Histoire, art et archéologie ; Béatrice de Chancel-Bardelot et Charlotte Riou (dir.), Toulouse 1300-1400. L’éclat d’un gothique méridional (Pierre Garrigou Grandchamp).

Commande et dévotion vers 1500. Mathieu Deldicque, Le dernier commanditaire du Moyen Âge. L’amiral de Graville. Vers 1440-1516 (Pierre Garrigou Grandchamp).

Mobilier romain. Alvar Gonzalez-Palacios, Il Mobile a Roma dal Rinascimento al Barocco (Bertrand Jestaz).

Histoire du livre et de l’enluminure. Jeffrey F. Hamburger et Joshua O’Driscoll, Imperial Splendor. The Art of the Book in the Holy Roman Empire, 800-1500 (Christian Heck). — Jeffrey F. Hamburger, The Birth of the Author. Pictorial Prefaces in Glossed Books of the Twelth Century (Christian Heck).

Architecture et conquête de l’air. Philippe Pâris et Dominique Barjot (dir.), Le hangar à dirigeables d’Écausseville : un centenaire plein d’avenir (Paul Smith).